La performance énergétique du tertiaire, de la GMS et du résidentiel hôtelier
Les équipes Orygeen ont travaillé sur :
Le remplacement de la totalité des éclairages intérieurs et extérieurs d’une surface commerciale et des entrepôts associés dans l’Est de la France.
L’élaboration d’une stratégie énergétique pour un approvisionnement long terme en électricité afin de diminuer le risque prix d’un distributeur spécialisé.
La réalisation d’un projet de 1 MW en ombrières de parking sur un centre commercial de Provence-Alpes-Côte d’Azur.
La mise en place d’une installation photovoltaïque sur le toit traditionnel en ardoise d’une université dans les Hauts-de-France.
La rénovation d’un système de chauffage, de ventilation et de climatisation de 2500 m2 sur plusieurs étages dans la région lyonnaise.
Les occupants de bâtiments tertiaires, les grandes et moyennes surfaces commerciales et les opérateurs de résidences hôtelières font face à 3 leviers principaux pour améliorer leur performance énergétique :
- l’éclairage,
- le CVC (Chauffage, Ventilation et Climatisation),
- le solaire photovoltaïque sur site en autoconsommation.
L’amélioration de la performance énergétique d’un site tertiaire, GMS ou résidentiel hôtelier doit reposer sur une approche totalement adaptée à chaque site, ses besoins et ses contraintes.
1. L’éclairage
L’installation de LED permet de réaliser des progrès d’efficacité énergétique significatifs. Le choix des solutions LED, leur implantation et le système de pilotage associés auront un vrai impact sur l’investissement effectué, la qualité de l’éclairage et l’importance des économies réalisées.
Un des enjeux est le pilotage de la consommation en fonction de l’occupation des espaces et de la luminosité extérieure afin de minimiser les consommations inutiles.
Exemple dans un hypermarché de la région Hauts-de-France : mettre en place un éclairage LED pour remplacer les éclairages traditionnels et ainsi économiser plus de 60% de la consommation en éclairage du bâtiment.
2. Le chauffage, la ventilation et la climatisation (CVC)
Les pompes à chaleur s’imposent parmi les meilleures solutions en termes d’efficacité énergétique pour à la fois chauffer et climatiser les bâtiments.
Le développement des réseaux de chaleur provenant en particulier de la chaleur récupérée sur des industries proches correspond à une demande croissante de solutions locales de production et consommation d’énergie.
Quelle que soit la solution mise en place, un pilotage GTB (Gestion Technique du Bâtiment) permettra d’optimiser la dépense énergétique.
Exemple dans une résidence hôtelière d’une station de ski des Alpes : installer deux pompes à chaleur air/eau à 1800 mètres d’altitude.
3. Le solaire
Que l’on installe une centrale solaire sur de simples toits terrasses ou sur des toits à l’architecture plus complexe, la production d’électricité est un levier de la performance énergétique d’un bâtiment désormais rentable.
On peut également poser des panneaux photovoltaïques en façade d’un immeuble, même si ce type de solutions techniques à un coût élevé.
La rentabilité d’un projet d’ombrières installées sur un parking proche mixe l’intérêt énergétique et une stratégie intégrant les notions de service et d’image de l’entreprise vis à vis de ses consommateurs, clients et employés.
Dans tous les cas, il faut :
- considérer une installation photovoltaïque comme un investissement car l’énergie produite est décarbonisée, valorisable et recherchée ; ce n’est donc pas un simple poste de coût comme les autres,
- mettre en place les conditions de sa valorisation à long terme (cadre juridique, choix des technologies adaptées, dimensionnement intelligent de la solution),
- maximiser les revenus en optant pour la meilleure option de valorisation, les conditions de valorisation évoluant rapidement, poussées par l’avancée technique des équipements et la modification du cadre légal.
Exemple dans un centre commercial de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur : installation de 500 kWc d’ombrières de parking pour produire une électricité renouvelable et communiquer sur l’engagement responsable de l’enseigne.
Un enjeu énergétique ?